FUTABA T14 MZ - FX 40 et T12FG

Publié le par JEFF

 

ATTENTION FUTABA T12FG
SI VOUS OUBLIEZ  D'ETEINDRE VOTRE RADIO ET QUE LA BATTERIE SE VIDE COMPLETEMENT vous ne perdez pas vos models, mais
VOUS ETES OBLIGES DE LA RENVOYER CHEZ AVIOTIGER pour recharger le programme.

 

 

 


 

 

ATTENTION NE JAMAIS FAIRE DE MISE A JOUR D' UNE FX 40 AVEC UNE CARTE OU UNE MISE A JOUR DE T 14
vous pourrez rentrer la mise à jour mais après la FX40 fonctionnera avec l'alarme en permanence .
et autant la mise a jour de la T14 est disponible, autant vous pouvez chercher pour la mise à jour de la FX 40 !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

MISE A JOUR FX 40 : envoyer moi un mail

MISE A JOUR T12 T14
http://www.aviotiger.com/telechargement.php?menu=7




Ces lignes ont été écrites lors de l'arrivée de la T14 en France 
il se peut que certaines choses est évoluées.

T 14 MZ FUTABA  
Je ne reviendrai pas sur la présentation générale de la radio, c’est avec la même T14 que Marck KRIEF dans RC PILOTE N° 22 d’août 2005 a fait longuement le tour de la question en un temps record. C’est de tous les articles écrits dans le domaine, l’un des plus complets.
Je ne referai pas non plus une recopie de la notice, cet article est une synthèse des questions qui m’ont été posées sur les terrains, et quelques astuces personnelles mais rassurez vous avec les possibilités de ce monstre j’en découvre tous les jours.
 
La première réflexion c’est le coût. Si on réfléchi un peu, cela ne représente qu’un an de cigarettes pour un fumeur moyen, et c’est meilleur pour la santé. Une radio est un investissement que vous pouvez amortir sur 10 ans, ce qui ne représente plus alors que le prix d’un servo numérique par an.
 
FUTABA aurait pu mettre un chargeur 12 V pour l’émetteur au lieu du chargeur 220 V pour le pack de la batterie réception, tout le monde ne possédant pas un convertisseur pour charger sur le terrain, le chargeur 12v CR 2500 est en option.
 
Certains se plaignent de l’afficheur. Après avoir utilisé la T 14 pendant 2 mois de meetings, cela ne m’a pas posé de problèmes. La visibilité sur un écran en plein soleil restera toujours un problème. Au début de la prise en mains et des premières programmations, on pense à dire « il me faut une 2ème batterie ». Puis, une fois que les modèles entrent en mémoire, on s’aperçoit qu’avec l’habitude, 1 seule batterie suffit. Il m’est arrivé au cours de cet été de faire 3 meetings (sur une durée de 3 semaines), à savoir 4 vols d’environ 6mn par week-end, avec au dernier vol encore 35 % d’énergie batterie, avec en plus quelques démonstrations des possibilités de la radio aux personnes qui étaient intéressées.
 
Prises sur le récepteur R 5014
 
Attention si vous sertissez vos connecteurs. En effet, les prises FUTABA font 2.6mm d’épaisseur. Les prises à sertir vendues dans le commerce font 2.74 à 2.82. Ne vous inquiétez pas, ce n’est qu’une question d’ébavurage. Après ébavurage au cutter ou sur un abrasif fin, vous retrouvez pratiquement la cote en épaisseur.
 
Sur le récepteur R 5014, vous pouvez insérez 7 prises dans le premier logement : b/C, 1, 2, 3, 4, 5, 6 et 6 prises dans le deuxième logement, 7, 8, 9, 10, 11, 12. Il est évident que si les prises ne sont pas à la cote, vous vous retrouvez avec 7 x 1.4 dixième = 98 dixième, soit presque 1 mm, et donc les 3 dernières vous ne pouvez pas les enficher. Ceci ne se produisait pas sur les récepteurs 1024 car il n’y avait au maximum que 5 prises.
 
Sur le R 5014 côté 7 prises, l’espace est de 18.65 mm divisé par 7 = 2.66 mm, coté 6 prises 15.92 mm divisé par 6 = 2.65 mm. Les prises DG1 et DG2 ont une épaisseur de 2.7mm. Sue les R149DP (1024) 5 prises 14mm divisé par 5 = 2.8m soit 1.5 dixième de plus par prise. Je veux bien que la miniaturisation soit un critère, mais à ce point, le constructeur aurait pu mettre quelques dixièmes en plus.
 
La longueur du fil d’antenne a encore changé. Il était de :
pour un 129 DP – 108.5 cm
pour un 149DP – 99.5 cm
et pour un R5014 - 98.5 cm.
Toutes ces mesures ne sont pas faîtes pour « pinailler » mais uniquement pour ceux qui se posent des questions.
 
Essais de portée
 
Les essais ne sont pas contractuels. Ils ont été faits le même jour, à la même heure et volontairement, dans une situation défavorable. Lieu : sommet d’un plateau où il n’y a que des cultures, mais ce sommet est arrondi ce qui fait qu’au bout d’une certaine distance, la personne tenant l’avion à bout de bras disparaît. D’autre part, au sommet de ce plateau, il y a une antenne relais d’environ 15m de téléphone portable, et en plus, la liaison entre le porteur de l’avion et le porteur de l’émetteur a été faîte par tel portable.
 
récepteur indoor – 5 voies MULTIPLEX PICO        PPM
         antenne entièrement rentrée – 90 m
         antenne sortie – 250 m
 
 
récepteur 129 DP 1024                                         PCM 1024
         antenne entièrement rentrée – 300 m
         antenne sortie – 1 km
 
récepteur R 5014 DPS                                          PCM G3 2048
         antenne rentrée 500 m
         antenne sortie, les essais ont été arrêtés à 1.2 km (il n’y avait plus        de route)
 
Les essais ont été faits par étapes de 100 m. La coupure a été franche à chaque essai. Les récepteurs 129DP etR5014 DPS ont été montés sur un planeur électrique de 3m, tenu à hauteur d’homme.
 
Les prochains essais de portée se feront avec un moteur thermique (DA150 en marche).
 
Astuce
 
Pour ceux qui pilotent en pupitre, sachez que vous pouvez utiliser les anciens pupitres 9ZAP ou FC28,
 En 2 coups de cutter + un bout de mousse dense, la modif est faîte .Pour ma part, j’ai volé pendant 2 mois, alternativement avec les 2 pupitres. Celui de la 9ZAP est plus léger.
 
 Pour éviter que votre valise ne soit détruite par les autocollants des n° de régie, tout au long des meetings (aucune régie ne collant ses étiquettes au même endroit) j’ai trouvé la solution, un porte-clé assez grand accroché à la poignée, et après un sourire, vous demandez gentiment de coller l’étiquette sur le porte-clé.
 
 
Attention ; en rentrant la radio dans la valise, la protection caoutchouc de la prise USB a tendance à se retourner ainsi que le bas de la porte qui protège la carte compact flash.
 
 
Carte compacte Flash
 
Il est indiqué dans la notice de n’utiliser qu’une carte de 32 meg, j’ai fait l’essai avec la CF de mont appareil photo de 128 meg, il n’y a aucun problème. La carte dans la radio est bien détectée et tout fonctionne. Cette carte sert de sauvegarde pour les modèles lorsque vous êtes dans MODEL SELECT => COPY. Cela vous ouvre la fenêtre MODE COPY. 2 Solutions : COPY => sur la mémoire de l’émetteur, et vous créez un nouveau modèle, (c’est une recopy du modèle existant) ou COPY sur la CF (DP).
Insertions d’images, respectez le format 168 x 80 pixels. Il faut absolument 168 ou inférieur et 80 ou inférieur, si non l’image ne sera pas reconnue, et n’oubliez pas de la convertir en .bmp.
 
Pour la musique, la stocker en VMA. FUTABA aurait pu choisir du MP3.
 
 
Je ne vais pas reprendre point par point toutes les étapes de la programmation. Le logiciel est si convivial qu’on en oublie la notice en français qui, cela dit est succincte mais bien faîte.
 
Tout d’abord, avec le nombre d’inter et de potentiomètres qu’il y a sur l’émetteur, le meilleur moyen de ne pas chercher en permanence, est d’adopter une règle pour tous les avions, à savoir, hormis les 4 fonctions principales, il faut attribuer un inter:
 
pour la coupure moteur
pour le train d’atterrissage
pour les volets
pour les AF
pour les DUAL RATE
pour le fumigène
crochet de remorquage
etc.…
 
TOUJOURS LES MEMES INTER et dans le même sens de fonctionnement mnémotechnique, train sorti => inter en bas, moteur coupé => inter en bas, AF sortis => inter en haut, etc.…
 
Vous avez en plus sur la T14 le loisir de choisir l’emplacement que vous voulez pour les 8 inter (SA, SB, etc.…) avec le matériel ad HOC pour les inverser.
 
Revenons à la coupure moteur. Ceci est valable pour les planeurs électriques et les moteurs thermiques. J’ai opté pour la solution suivante : l’inter choisi est le SG en suivant la règle inter en position basse moteur coupé. Vous me direz, par inattention, l’inter peut être dans la mauvaise position lors de la mise en marche de l’émetteur ? Et bien non, d’ou l’utilité du microphone et de la carte CF. Vous entrez dans LINKAGE MENU => SOUND et là, vous avez une fenêtre avec un micro dans un carré qui vous ouvre une fenêtre SOUND RECORDER. Vous appuyez sur enregistrement (case violette) et vous disposez d’environ 3 secondes pour enregistrer un message (parler assez fort et près du micro). Pour ma part, j’ai le message suivant « MOTEUR SG 0 BAS » programmé à la mise sous tension de l’émetteur, (dans SOUND N° 1 START UP que vous nommez par exemple moteur), vous pouvez aussi enregistrer un message à POWER OFF, extinction de l’émetteur. Il est aussi possible d’attribuer un inter au message avec 24 messages différents. Mon inter de train est le SF avec le message à la mise sous tension de l’émetteur, et lors de la sortie du train : « TRAIN SORTI SF BAS ».
Vous pouvez piloter et ainsi vérifier d’une façon sonore, touts vos action sur les inter.
 
Train rentré
Train sorti SF bas
AF sorti
Largué
Moteur SD 0 bas
Accroché
 
De même, si vous avez programmé un inter sur la fonction THROTTLE CUT, et qu’à la mise sous tension de l’émetteur cet inter est sur ON, avant de valider l’émission, une fenêtre vous prévient « THROTLE CUT IS ON, avec en plus un message sonore.
WANING CONTINUE ». Ceci vous permet de mettre l’inter sur OFF et de répondre YES pour valider ensuite l’émission.
 
Connexion des servos au récepteur
 
Là encore une fois, tout est changé. L’affectation est toutefois plus logique. Nous retrouvons en fonction des modèles :
profondeur en 1
direction en 2
gaz en 3                (le seul qui n’a pas changé)
ail en 4
ail.2 en 5
 
Donc, pensez à tout changer sur vos modèles. De toute façon vous modifierez l’affectation car avec 14 voies de disponibles, les choses deviennent plus simples. Vous pouvez opter pour l’ancienne affectation FUTABA 1024 en changeant l’affectation des manches et inter, mais vous ne bénéficierez plus des mixages préprogrammés.
 

COURRIER ROBBE 
 Consignes de mise en place et d’utilisation du récepteur de l’ensemble de radiocommande R 5014 (G3)

 Un certain nombre d’informations et de requêtes nous sont parvenues à cause de problèmes de réception avec le récepteur R 5014.

Nous avons analysé un certain nombre de cas en collaboration avec la Sté Futaba pour en évaluer les causes.

Il nous a été permis de constater que l’essentiel des questions concerne les petits gros et les hélicoptères de puissance et principalement les modèles disposant de longs cordons de servo et/ou de modèle présentant un brouillard électronique (electrosmog) important.

Le nouveau système très rapide PCM G3 transmet 14 canaux avec 2048 étapes, c’est-à-dire une grande quantité de données au cours d’un délai très bref. La procédure est réalisable grâce à un processus de modulation FSK à quatre niveaux.

Pour assurer un décodage sûr côté récepteur, il faut que ce dernier dispose d’un niveau de signal excellent.

Lorsque le signal de réception n’est pas suffisamment bon, lorsqu’il varie ou lorsqu’il est perturbé, le récepteur tente de régénérer le signal des données. Ceci n’est cependant réalisable que jusqu’à un certain niveau, ensuite intervient une commutation automatique sir le mode de maintien (Hold-Mode) ou sur la sécurité intégrée (Failsafe).

La quantité de données d’un système transmises est proportionnellement tributaire de la qualité du niveau du signal sur le récepteur.

Il s’agit du résultat simple – mais connu – de nos évaluations. Un agencement peu rationnel des cordons de servo dans le modèle ou la mise en œuvre de certains variateurs de vitesse sans balais, etc. conduisaient dur les „modèles à problème“ analysés à une réduction du signal de réception de jusqu’à 16 dB (coefficient 6), ainsi donc de seulement 16 % de la puissance possible du signal au niveau du récepteur.

Sur les modèles équipés d’entraînements à réaction, il a été établi que le raccordement de l’ECU doit intervenir dans tous les cas via le filtre antiparasite de servo robbe réf. F 1413. L’ECU provoque de telles perturbations que la portée, sans filtre antiparasite de servo, est réduite de 50 % environ. Il faut également installer le filtre antiparasite de servo lorsqu’on utilise un dérivateur d’accu. Les filtres du dérivateur ne suffisent plus.

Si, en plus, au cours d’un séance de vol, interviennent des réductions de signal supplémentaires à cause de changements d’assiette du modèle (orientation de l’antenne) ou lorsque d’autres incidences perturbatrices se manifestent, des procédures de maintien („Holds“) très brèves sont inévitables.

Avant la mise en service ou avant le décollage, nous recommandons instamment de réaliser un test de portée.

Il faut alors que - SANS antenne – la portée des ensembles T12Z /T14MZ se monte à approximativement 50 mètres et celle des ensembles FX-40 d’approximativement 60 mètres pour prévenir les procédures de maintien („Holds“).

Sur notre fiche technique – Consignes de mise en place et d’utilisation de récepteurs où vous trouverez les consignes et conseils de mise en place correcte et de branchement du récepteur dans le modèle.

Votre Équipe robbe

 



Consignes de mise en place et d´utilisation de récepteurs d´ensembles de radiocommande :

 

L´équipement technique des modèles s´est considérablement modifié ces dernières années, les entraînements assurés par des moteurs sans balais et les variateurs correspondants sans balais également, les accus d´entraînement au Lithium, les systèmes télémétriques, les systèmes GPS, etc. pour n´en mentionner que quelques-uns.

Même les matériaux utilisés pour les modèles ont évolué avec l´apparition des fibres de carbone dans les diverses disciplines du modélisme. Pour préserver des modèles légers, stables et performants de plus en plus d´éléments en carbone, d´accus au Lithium et d´entraînements sans balais sont mis en œuvre dans les modèles. Dans le domaine des hélicoptères radiocommandés, l´entraînement à courroie crantée pour le rotor arrière est déjà quasiment devenu un standard.

 

Lors de la construction, il est également dans tous les cas tenu compte de l´implantation des servos, des moteurs et des accus d´entraînement. Le récepteur trouvera d´une manière ou d´une autre sa place lors de l´implantation des composants. Il est pratiquement tenu pour naturel que les composants de l´ensemble de radiocommande rendent pilotable à distance la configuration d´entraînement définitive du modèle.

Il ne peut toutefois pas s´agir d´une chose qui va se soi car les composites de métal, plastique et carbone, particulièrement en relation avec l´entraînement à courroie crantée, sont susceptibles, à cause de leur diversité, d´influencer énormément les conditions de réception de l´ensemble de radiocommande. En fonction de la combinaison variable des matériaux conducteurs ou non conducteurs de l´électricité, peuvent apparaître des zones de charge statique susceptibles de provoquer l´apparition d´étincelles au niveau des contacts entre métaux divers et d´influencer énormément les conditions de réception.

La position du récepteur n´est pas la seule qui détermine la qualité de la réception, mais particulièrement aussi l´agencement de l´antenne souple du récepteur. De plus, tous les récepteurs ne sont pas similaires, en fonction de leur mise en œuvre, il peut s´agir d´un récepteur de taille normale, de forme allongée, légère ou étroite. D´autres applications exigent un grand nombre de voies, ce qui explique que les récepteurs proposés peuvent être de type très différent. Chaque type de récepteur est pourvu de qualités propres en relation avec la sensibilité du signal de l´émetteur et face aux perturbations (brouillard électronique).

 

Le nombre des servos et la longueur et l´agencement de leurs cordons on tune incidence sur la qualité de réception. Lorsque des éléments du fuselage ou des renforts de fuselage sont réalisés en matériau conducteur de l´électricité (carbone, feuille d´aluminium, métal) ces éléments constituent un e sorte de blindage par rapport au signal de l´émetteur et sont susceptibles de réduire considérablement la qualité de réception. Cette remarque concerne également les peintures fortement pigmentées ou à forte teneur en métal du fuselage.

 

La timonerie, les éléments d´asservissement en carbone, les cordons de servo agencés parallèlement à l´antenne décalent le champ électrique autour de l´antenne et absorbent en plus l´énergie de l´émission. Ainsi l´énergie du signal d´émission devant parvenir dans l´antenne du récepteur est-elle sensiblement réduite.

Les conditions météorologiques également sont susceptibles d´influencer la qualité de la réception, ainsi, par beau temps sec, l´humidité de l´air diminue ce qui provoque, sur le modèle, une charge électrostatique supérieure à celle existant par temps humide. Lorsque le temps est humide, par contre, la réflexion du rayonnement de l´émetteur croît au sol. En fonction de l´angle de l´antenne et de la distance, peuvent apparaître des „trous de transmission“ car les informations d´émission rayonnées via l´air ambiant et réfléchies par le sol sont susceptible de s´annihiler mutuellement ou de se renforcer (nuance de longueur d´onde des deux ondes).

Dans les salles ou halls dont l´architecture est très souvent métallique ou en béton armé, la réflexion multiple (plafond-sol-murs) provoque très souvent des „trous de transmission“.

 

Il est impossible d´exiger du constructeur qu´il ait effectué des essais de ces divers composés constituant les modèles du point de vue des matériaux, de l´angle de l´antenne, de la position de l´antenne, etc. d´autant plus que l´accumulation de „péchés véniels“ est susceptible de provoquer un „dysfonctionnement“. Ces procédures de contrôle ne peuvent être effectuées que par le modéliste ou l´exploitant du modèle.

Les paragraphes qui suivent présentent un certain nombre de consignes élémentaires permettant de préserver les meilleures conditions de réception possibles :

Antenne de réception :

          autant que possible sous forme de L pour réduite la dépendance par rapport à l´assiette

          non parallèle à des matériaux conduisant l´électricité tels que cordons, câbles de frein, filins d´asservissement, bielles en carbone, etc., ou à disposer à l´intérieur ou à l´extérieur le long de fuselages conduisant l´électricité

          les cordons raccordés à l´émetteur (servos, alimentation électrique, etc.) ne doivent pas présenter la même longueur (ou la moitié de la longueur ou encore un multiple de la longueur) que l´antenne souple du récepteur. (par exemple lorsque l´antenne du récepteur a une longueur de 1 mètre, il faut éviter les longueurs de câble suivantes : 0,5m, 1m, 2 m, 3m, etc.)

          autant que possible loin des

            o          cordons conducteurs des variateurs ou des moteurs

            o          bougies de démarrage, des résistances de bougies de démarrage

            o          les emplacements susceptibles de présenter de fortes charges d´électricité statique, tels que courroies crantées, turbines, etc.

          avec les fuselages composés de matériaux présentant un effet de blindage (carbone, métal, etc.) amener l´antenne le plus vite (court) possible hors du fuselage

          ne pas fixer l´extrémité de l´antenne à des matériaux conduisant l´électricité (métal, carbone)

          ne monter en aucun cas les antennes rigides sur des matériaux conduisant l´électricité (carbone, aluminium, etc.), Sur les modèles rapides, les grandes vitesses provoquent des charges d´électricité statique. Sur ces modèles, l´antenne rigide ne doit en aucun cas être fixée sur la surface extérieure du fuselage. Dans ce cas, c´est la solution suivante qui s´est avérée pratiquement la meilleure : fixer l´antenne à l´intérieur du fuselage à un couple en bois et l´amener au travers d´un trou de 10 mm approximativement au travers d fuselage.

Isoler l´antenne au niveau de son passage hors du fuselage à l´aide d´un morceau de gaine thermorétractable

 

 

(Seite 2)

 

Récepteur :

          pour la mise en place du récepteur s´appliquent les règles énumérées ci-dessus

          ne positionner autant que possible pas d´autre composant électronique dans le voisinage immédiat du récepteur

          la solution habituelle „de juxtaposition de composants électroniques“ doit être évitée

          réaliser l´alimentation électrique autant que possible avec un accu à faible résistance interne de type Cd-Ni ou NiMH.

          éviter les système d´alimentation directe du récepteur (BEC) cadencés, ces „générateurs de fréquences produisent un spectre de fréquences en modification continuelle à forte puissance. Le cordon de connexion transporte cela directement au récepteur. La charge à variation constante et le niveau de tension variant continuellement n´offrent très souvent à ce système qu´une tension insuffisante. En particulier les récepteurs-synthétiseurs disposant de fortes consommations en subissent l´incidence.

          les variateurs conçus pour un nombre d´éléments plus importants ne disposant pas de système BEC d´alimentation directe du récepteur disposent malgré tout d´un système BEC „interne“ pour l´alimentation propre de l´électronique du variateur qui travaille sur le même principe avec toutefois une puissance réduite. Le fait de connecter établit également une source d´énergie électrique à destination du récepteur. Il est recommandé d´interposer un filtre antiparasite réf. F 1413 pour éloigner cette perturbation du récepteur. Contrairement à d´autres filtres, ne disposant généralement que d´un noyau en ferrite, le filtre antiparasite Futaba filtre également l´impulsion d´entrée avec une combinaison condensateur-résistance.

          les divers types de récepteurs (FM, PCM 1024, PCM 2048 (G3) réagissent également de manière différente au branchement de modules électroniques supplémentaires tels que chauffages de bougies de démarrage, unités de commande de turbines, systèmes télémétriques, GPS, etc. Dans ces cas également nous recommandons la mise en place, si nécessaire, du filtre antiparasiste réf. F 1413 pour le désaccouplement.

 

Modèle :

          pour éviter les charges d´électricité statique, il est également recommandés de prendre des mesures directement sur le modèle.

          Hélicoptère :

            o          relier le tube de flèche de rotor arrière et le châssis à l´aide d´une bande de mise à la masse. En présence d’un entraînement à courroie crantée. Si nécessaire, installer une „brosse en cuivre“ afin de dériver les charges de la courroie crantée. Eventuellement aussi relier les poulies de courroie crantée conductrices au châssis de l’hélicoptère.

            o          sur les hélicoptères électriques il est généralement indispensable de relier le tube de flèche avec le carter d moteur.

            o          lorsque les pales mises en œuvre sont en plastique renforcé fibre de verre/fibre de carbone et les pales de rotor arrière en plastique renforcé fibre de carbone,

            o          lorsque le régime est élevé et en présence d´une faible humidité relative de l´air de très fortes charges d´électricité statique sont susceptibles d’apparaître. Pour l’éviter, établir une liaison conductrice entre le mécanisme du rotor arrière et l’arbre du rotor principal. L’application d’un produit antistatique en bombe (par exemple Kontakt Chemie) a fait ses preuves.

          Turbines :

            o          relier l carénage de turbine à l’aide d’une bande de mise à la masse afin d’éviter toute charge statique.

            o          antiparasiter systématiquement l´ECU avec un filtre antiparasite réf. F 1413 supplémentaire.

            o          sur les modèles à réaction rapides en plastique renforcé fibre de verre les hautes vitesses provoquent souvent l’apparition de fortes charges d’électricité statique (approx.. 40.000 volts) (particulièrement lorsque l’air ambiant présente une humidité relative basse). Dans ce cas il est indispensable de relier entre eux par conducteurs tous les éléments en plastique renforcé fibre de verre d´une taille supérieure à 10 cm² approximativement,

            o          également les raccords acheminés au travers du fuselage (branchement du réservoir, par exemple), vers l’extérieur, doivent être reliés entre eux de manière conductrice afin d’éviter toute charge d’électricité statique. Les charges d´électricité statique peuvent provoquer la mise en œuvre de vannes d’arrêt via le flexible du réservoir.

            o          les roues d´atterrisseur sont également susceptibles de provoquer l’accumulation d’électricité statique et doivent donc être munies de brosses en cuivre.

 

Test de portée :

Avant la mise en œuvre d’un nouveau modèle et dans tous les cas avec la mise en œuvre d’un nouveau récepteur, il est indispensable de pratiquer un essai de portée. Dans ce cas, il faut que le modèle ne se trouve pas au sol mais à une distance de 1 à 1,5 m au-dessus du sol environ. Pour ce faire, utiliser une table en plastique ou en bois ou une caisse ou un carton. En aucun cas une table métallique (table de camping). Veiller également à l’absence de matériaux conducteurs dans le voisinage (grillages, automobiles, etc.) et veiller à ce que personne ne stationne trop près du modèle.

          Mettre d’abord le modèle en marche sans le moteur d’entraînement.

          Éloignez-vous lentement du modèle et actionner lentement mais continuellement une gouverne.

          Pendant que vous vous éloignez du modèle, observez le fonctionnement de la gouverne actionnée afin de constater immédiatement si elle s’immobilise.

Le cas échéant, faites vous aider par une tierce personne se trouvant à n certaine distance du modèle mais suffisamment près pour pouvoir l’observer.

          Pendant que vous vous éloignez, tourner de temps en temps le modèle vers la droite ou vers la gauche afin de simuler une autre position de l’antenne par rapport au modèle.

          L’antenne de l’émetteur ´tant escamotée, en fonction du type d’émetteur, la portée de la transmission doit se monter à 100 jusqu’à 150 m environ.

          À noter : avec le récepteur G3 (émetteur T12Z / T14 MZ / FX-40) effectuer le test de porte SANS antenne. Portée des ensembles T12Z / T14MZ, approx. 50 m, FX-40 approx. 60 m

          Lorsque ce premier essai de portée est concluant,       

o          effectuer le même alors que le moteur tourne (attention, le cas échéant, ne pas oublier de fixer le moteur)

          La portée relevée à ce moment-là ne doit être que légèrement inférieure (approx. 20%). Si elle est nettement plus réduite,

            o          c’est que l´unité d’entraînement perturbe le récepteur. Vérifier que vous avez bel et bien appliqué tous les mesures décrites ci-dessus.

          Pour conclure, effectuer un nouveau test de portée avec l’antenne sortie et moteur en marche, dans ce cas, il faut que la portée atteinte soit > 500 m.

 

Votre équipe robbe

 

 

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